Limite entre figuratif et abstrait, ses personnages sont réinventés jusqu’à ce qu’ils échappent à la mémoire, mais surtout, tangence entre la matière et l’espace : il sculpte la COULEUR comme on joue avec une épluchure pour reconstituer le fruit… JP Moscovino découpe, plie, invente forme et contre forme, s’étonne des effets, pratique la révélation du résultat comme un voyage recto verso, pli à pli, à la recherche des illusions d’optique.